TISANE FRANKLIN - Mélange de plantes pour tisane, vrac. - bt 90 g
Retiré du marché le : 16/12/2011
Dernière révision : 21/08/1991
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : DENSMORE
Traitement symptomatique de la constipation.
CONTRE-INDIQUE :
- Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...).
- Syndrome occlusif ou subocclusif, syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée.
- Enfants de moins de 12 ans (sauf prescription médicale).
DECONSEILLE :
Traitement associé par :
- anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe la (type quinidine), sotalol, amiodarone.
- lidoflazine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
- Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...).
- Syndrome occlusif ou subocclusif, syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée.
- Enfants de moins de 12 ans (sauf prescription médicale).
DECONSEILLE :
Traitement associé par :
- anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe la (type quinidine), sotalol, amiodarone.
- lidoflazine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
- Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
. l'enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons,
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Une utilisation prolongée d'un laxatif est déconseillée.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle. Elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
La prise prolongée de principes anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie, elle est très rare ;
. une situation de dépendance avec besoin régulier de laxatifs, nécessitant d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants, amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
. l'enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons,
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Une utilisation prolongée d'un laxatif est déconseillée.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle. Elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
La prise prolongée de principes anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie, elle est très rare ;
. une situation de dépendance avec besoin régulier de laxatifs, nécessitant d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants, amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
- Possibilité de diarrhée, de douleurs abdominales en particulier chez les sujets souffrant de côlon irritable.
- Possibilité d'hypokaliémie.
- Possibilité d'hypokaliémie.
Sans objet.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Risque d'hypokaliémie et donc d'interactions médicamenteuses en cas d'association d'un laxatif stimulant avec :
- Anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe Ia (type quinidine), sotalol, amiodarone.
- Lidoflazine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
Torsades de pointes (l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant) ; utiliser un laxatif non stimulant.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques :
L'hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
- Autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés).
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et si besoin correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
Risque d'hypokaliémie et donc d'interactions médicamenteuses en cas d'association d'un laxatif stimulant avec :
- Anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe Ia (type quinidine), sotalol, amiodarone.
- Lidoflazine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
Torsades de pointes (l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant) ; utiliser un laxatif non stimulant.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques :
L'hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
- Autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés).
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et si besoin correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
1 à 2 cuillères à café par jour le matin à jeun ou le soir au moins 2 heures après le repas.
Faire infuser 10 minutes, filtrer et boire l'infusion.
Le traitement doit être de courte durée (maximum 8 à 10 jours).
Faire infuser 10 minutes, filtrer et boire l'infusion.
Le traitement doit être de courte durée (maximum 8 à 10 jours).
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
Sans objet.
LAXATIF STIMULANT.
Il modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique.
Délai d'action : 8 à 12 heures.
Il modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique.
Délai d'action : 8 à 12 heures.
Les sennosides agissent sur le colon probablement après hydrolyse par la flore colique.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
80 g en boîte (carton).